L'ancien président français, Jacques Chirac a été mis en examen par la juge Xavière Siméoni. Il est poursuivi pour détournement de fonds publics dans l'affaire dite des emplois fictifs de la Mairie de Paris. C'est une première dans la cinquième République. Son avocat, Me jean Veil a annoncé la nouvelle devant la presse un peu comme dans des sociétés féodales, on annonce la mort d'un dignitaire.
Et pour lui faire comprendre à l'ancien président que la justice ne blague plus et que le vent a changé de direction, la juge Siméoni au contraire de ses prédécesseurs, a tenu à convoquer Jacques Chirac dans ses bureaux. Au bout de la procédure, Jacques Chirac risque une peine de 10 ans de prison et 100 000 euros d'amendes. A plus de 75 ans, l'épreuve est difficile pour le vieil homme qui, après 40 ans de combats politiques sans répit, aspirait à un repos mérité sur terre en attendant le repos éternel. Mais comme le rosier, la fonction présidentielle a ses épines et qui s'y frotte, s'y pique parfois mortellement. Certains ont depuis pensé à s'en préserver. Mais ce n'est pas toujours évident.
Une personne, habituée des milieux des pouvoirs en Afrique me rapporta cette conversation entre deux chefs d'Etat africains : "Mon frère, dans ces choses là, il faut éviter que demain, on ait l'occasion de dire de toi : voilà l'ancien chef de l'Etat. Et pour cela, tu sais ce qu'il te reste à faire". Et ce qu'il reste à faire justement, c'est ce qui se passe partout en Afrique et dans d'autres régions du monde. A savoir, la modification de la constitution afin d'instaurer une présidence à vie de fait. Une éventualité que Jacques Chirac n'avait pas totalement écarté puisque la constitution française lui en donnait la possibilité. Mais, aspiré par le sarkozysme à la fois séduisant et terrifiant, les fidèles de Jacques Chirac sont partis les uns après les autres à l'exception de Jean Louis Débré qu'il retrouve au conseil constitutionnel.
Cette conversation, qu'elle soit réelle ou imaginaire, révèle au moins au chose : bien qu'il y ait une vie après la présidence, force est de reconnaître que cette vie là n'est faite que de tourments et de cauchemars. Raison pour laquelle beaucoup préfèrent mourir au pouvoir pour ne pas avoir à vivre l'enfer sur terre. Jacques Chirac est en France le premier ancien président à être mis en examen sous la cinquième République. Mais dans le monde, il ne se met que derrière un long rang d'anciens chefs d'état malmenés par la justice de leur pays. Entre 1980 et 2002, les protagonistes au sommet des régimes politiques africains se sont correctement crêpés le chignon.
En Afrique, l'ancien président du Cameroun Ahmadou Ahidjo a été condamné à mort par contumace en février 1984 pour complot contre le président Paul Biya à qui il avait remis volontairement le pouvoir en novembre 1982; Jean Bedel Bokassa, l'ex empereur de Centrafrique a été condamné à mort en juin 1987 pour avoir ordonné le massacre d'enfants; Pascal Lissouba du Congo a été condamné par contumace en décembre 2001 à 30 ans de travaux forcés pour haute trahison. Il avait déjà été condamné à 20 ans de réclusion en décembre 1999 officiellement pour complot visant à assassiner le président Sassou Nguessou; Olesegun Obasanjo, actuel président du Nigéria qui avait déjà gouverné ce pays de 1976 à1979 avait été condamné à la prison à vie en juillet 1995 pour son implication dans une tentative de coup d'état contre Sani Abacha; En 1997, l'ancien président zambien Kenneth Kaunda fut détenu et inculpé, par son successeur Frédérik Chiluba de rétention d'informations. Le même Frédérik Chiluba devenu ex président a été inculpé par son successeur Lévi Mwanawassa de corruption et de détournement de fonds. L'ex président Rwandais Pasteur Bizimungu est écroué depuis le 23 avril 2002 pour "atteinte à la sûreté" de l'Etat et "détention illégale d'armes". L'ex président de Madagascar Didier Ratsiraka a été condamné par contumace à 10 ans de travaux forcés pour "détournement de deniers publics". Il existe même des inculpations à la fois grossières et fantaisistes comme celle de l'ex président du Zimbabwe Canaan Banana qui avait été condamné en 1998 à un an de prison ferme pour sodomie et crime sexuels lors de sa présidence.
Dans le reste du monde, on peut citer les cas de Bénazir Bhutto, l'ancienne premier ministre du Pakistan, condamnée pour détournement de fonds; au Philippines, l'ex président Joseph Estrada a été condamné à vie par une juridiction anti corruption qui l'a reconnu coupable de détournement de fonds; au Chili, malgré ses 89 ans, Agusto Pinochet a été condamné dans l'affaire de l'opération Columbo durant laquelle 119 dissidents politiques avaient disparu dans les années 70; au Cambodge, l'ancien président Kmers rouges Khieu Sanphan vient d'être arrêté. Il est inculpé pour crime contre l'humanité et crime de guerre par un tribunal parrainé par les Nations Unies. Condamné aussi pour crime contre l'humanité, l'ancien président irakien Saddam Hussein a été pendu. Et cette liste macabre n'est du tout pas exhaustive.
Et pour lui faire comprendre à l'ancien président que la justice ne blague plus et que le vent a changé de direction, la juge Siméoni au contraire de ses prédécesseurs, a tenu à convoquer Jacques Chirac dans ses bureaux. Au bout de la procédure, Jacques Chirac risque une peine de 10 ans de prison et 100 000 euros d'amendes. A plus de 75 ans, l'épreuve est difficile pour le vieil homme qui, après 40 ans de combats politiques sans répit, aspirait à un repos mérité sur terre en attendant le repos éternel. Mais comme le rosier, la fonction présidentielle a ses épines et qui s'y frotte, s'y pique parfois mortellement. Certains ont depuis pensé à s'en préserver. Mais ce n'est pas toujours évident.
Une personne, habituée des milieux des pouvoirs en Afrique me rapporta cette conversation entre deux chefs d'Etat africains : "Mon frère, dans ces choses là, il faut éviter que demain, on ait l'occasion de dire de toi : voilà l'ancien chef de l'Etat. Et pour cela, tu sais ce qu'il te reste à faire". Et ce qu'il reste à faire justement, c'est ce qui se passe partout en Afrique et dans d'autres régions du monde. A savoir, la modification de la constitution afin d'instaurer une présidence à vie de fait. Une éventualité que Jacques Chirac n'avait pas totalement écarté puisque la constitution française lui en donnait la possibilité. Mais, aspiré par le sarkozysme à la fois séduisant et terrifiant, les fidèles de Jacques Chirac sont partis les uns après les autres à l'exception de Jean Louis Débré qu'il retrouve au conseil constitutionnel.
Cette conversation, qu'elle soit réelle ou imaginaire, révèle au moins au chose : bien qu'il y ait une vie après la présidence, force est de reconnaître que cette vie là n'est faite que de tourments et de cauchemars. Raison pour laquelle beaucoup préfèrent mourir au pouvoir pour ne pas avoir à vivre l'enfer sur terre. Jacques Chirac est en France le premier ancien président à être mis en examen sous la cinquième République. Mais dans le monde, il ne se met que derrière un long rang d'anciens chefs d'état malmenés par la justice de leur pays. Entre 1980 et 2002, les protagonistes au sommet des régimes politiques africains se sont correctement crêpés le chignon.
En Afrique, l'ancien président du Cameroun Ahmadou Ahidjo a été condamné à mort par contumace en février 1984 pour complot contre le président Paul Biya à qui il avait remis volontairement le pouvoir en novembre 1982; Jean Bedel Bokassa, l'ex empereur de Centrafrique a été condamné à mort en juin 1987 pour avoir ordonné le massacre d'enfants; Pascal Lissouba du Congo a été condamné par contumace en décembre 2001 à 30 ans de travaux forcés pour haute trahison. Il avait déjà été condamné à 20 ans de réclusion en décembre 1999 officiellement pour complot visant à assassiner le président Sassou Nguessou; Olesegun Obasanjo, actuel président du Nigéria qui avait déjà gouverné ce pays de 1976 à1979 avait été condamné à la prison à vie en juillet 1995 pour son implication dans une tentative de coup d'état contre Sani Abacha; En 1997, l'ancien président zambien Kenneth Kaunda fut détenu et inculpé, par son successeur Frédérik Chiluba de rétention d'informations. Le même Frédérik Chiluba devenu ex président a été inculpé par son successeur Lévi Mwanawassa de corruption et de détournement de fonds. L'ex président Rwandais Pasteur Bizimungu est écroué depuis le 23 avril 2002 pour "atteinte à la sûreté" de l'Etat et "détention illégale d'armes". L'ex président de Madagascar Didier Ratsiraka a été condamné par contumace à 10 ans de travaux forcés pour "détournement de deniers publics". Il existe même des inculpations à la fois grossières et fantaisistes comme celle de l'ex président du Zimbabwe Canaan Banana qui avait été condamné en 1998 à un an de prison ferme pour sodomie et crime sexuels lors de sa présidence.
Dans le reste du monde, on peut citer les cas de Bénazir Bhutto, l'ancienne premier ministre du Pakistan, condamnée pour détournement de fonds; au Philippines, l'ex président Joseph Estrada a été condamné à vie par une juridiction anti corruption qui l'a reconnu coupable de détournement de fonds; au Chili, malgré ses 89 ans, Agusto Pinochet a été condamné dans l'affaire de l'opération Columbo durant laquelle 119 dissidents politiques avaient disparu dans les années 70; au Cambodge, l'ancien président Kmers rouges Khieu Sanphan vient d'être arrêté. Il est inculpé pour crime contre l'humanité et crime de guerre par un tribunal parrainé par les Nations Unies. Condamné aussi pour crime contre l'humanité, l'ancien président irakien Saddam Hussein a été pendu. Et cette liste macabre n'est du tout pas exhaustive.
"TUEURS EN SERIE"
Parfois, dans ces tourments des anciens chefs de l'état, on veut y voir la main du nouveau régime qui veut régler les comptes. Mais il faut tout de suite dire que si cette possibilité n'est pas à écarter, la main des nouveaux régimes n'est pas toujours évidente. Il se trouve que la fin, somme toute, dramatique est presque consubstantielle à la fonction de chef de l'Etat. D'aucuns diraient que c'est la prix de la gloire.
Au cours de leur exercice du pouvoir, les chefs d'état commettent tellement d'actes répréhensibles qu'il suffit à la justice juste un peu plus de sérieux pour se courber sur leur route et ramasser à la pelle des pièces à conviction. Certaines de ces pièces sont couvertes par ce qu'on appelle astucieusement secret d'état mais d'autres sont visibles à l'œil nu. Jean Paul Sartre disait des hommes politiques qu'ils ont "les mains sales" parce qu'ils les ont trempés constamment dans le sang
Un président de la République, malgré l'attrait que sa fonction provoque chez les autres citoyens et malgré les paillettes qui entourent cette fonction, n'est finalement qu'un vulgaire "tueur en série". Les chefs d'état "tuent" sciemment pour certains et malgré eux pour les autres. Et c'est seulement à ce niveau que se situe la différence entre un démocrate et un dictateur. Bien sûr, il faut faire la différence entre la mort politique et la mort clinique.
Pour ce qui est de Jacques Chirac qui vient d'être mis en examen, le lieu du crime aura été l'hôtel de ville de Paris. Là bas, l'ancien Maire de Paris et éternel candidat à l'Elysée a "tué" ses cinq directeurs de cabinet : Robert Pandraud, Daniel Naftalski, Michel Roussin, Rémy Chardon, Bernard Bled. Plus tard, sur son chemin, il a "abattu" Alain Juppé, Jean Tibéri, Charles Pasqua qui a entraîné avec lui son fils. Dominique de Villepin, empêtré dans l'affaire Clairstream est aujourd'hui la dernière perdrix "abattue" par le chasseur Chirac. Tous les autres membres de la chiraquie à commencer par Nicolas Sarkozy, François Fillon, Philippe Séguin, l'ont échappé belle. Ils ont eu juste le temps de s'autonomiser et même de se placer en rival pour les deux premiers ou encore de se mettre à l'abri pour le dernier. Michèle Alliot Marie qui peut être considéré comme le dernier des mohicans de la chiraquie, se débat encore dans le gouvernement Fillon et d'aucuns pensent qu'ils finiront par avoir sa peau. Simple hasard de calendrier ou fait prémédité, toujours est-il que MAM a été convoquée le même jour que Chirac était mis en examen pour répondre comme simple témoin dans l'affaire Clearstream.
Il faut relever le fait que Jacques Chirac prend sa mis en examen avec une certaine élégance. Et on peut même dire qu'il y a de sa part et de la part de ses proches une sorte de mis en scène. Sa ligne de défense tient en deux chose : tout le monde faisait la même chose à cette époque et en faisant cela, je ne me suis pas enrichi personnellement. Cette posture, à la limite masochiste, a eu pour avantage de diviser l'opinion jusque dans les rangs de l'UMP où certains n'ont pas hésité à se prendre de compassion pour l'ancien chef de l'Etat. Même à gauche où on aurait pu s'attendre à l'enfoncement du clou ou du moins à l'indifférence, certains leaders comme Arnaud Montebourg écrasent une larme pour le vieil homme.
Cette volonté d'affronter la justice ressemble à s'y méprendre à celle affiché par Dominique de Villepin dans l'affaire Clearstream. Chez l'un et chez l'autre et d'ailleurs, chez les deux ensemble il y a une volonté de jouer l'opinion publique et de contre attaquer sur le terrain politique. Ceci tient au fait que chez certains membres de la chiraquie – aussi bien ceux qui sont déclaré ou ceux qui se sont camouflés - réside encore la croyance selon laquelle, le sarkozysme ne serait qu'une bulle qui finira par exploser. Alors, à ce moment là l'opinion publique pensera à ses victimes et surtout aux grosses pointures de ses victimes.
Dans l'affaire Clearstream, Dominique De villepin avait la possibilité d'échapper à la justice classique au vu de son statut d'ancien chef de gouvernement. Mais il a voulu affronter la justice et ouvrir parallèlement un front politique - et même un front de la provocation politique comme le pensent certains - question de jouer la victime et attendre son heure lorsque la bulle Sarkozy éclatera. En prenant la même posture de conquérant face à la justice comme De Villepin, Jacques Chirac qui ne peut plus prétendre revenir aux affaires, veut-il apporter son soutien à son filleul ou c'est la guerre des chefs qui continue? L'avenir nous le dira.
Etienne de Tayo
Promoteur "Afrique Intègre"
http://www.edetayo.blogspot.com/
Lire aussi : http://www.afriblog.com/blog.asp?code=tayo&no_msg=919
Au cours de leur exercice du pouvoir, les chefs d'état commettent tellement d'actes répréhensibles qu'il suffit à la justice juste un peu plus de sérieux pour se courber sur leur route et ramasser à la pelle des pièces à conviction. Certaines de ces pièces sont couvertes par ce qu'on appelle astucieusement secret d'état mais d'autres sont visibles à l'œil nu. Jean Paul Sartre disait des hommes politiques qu'ils ont "les mains sales" parce qu'ils les ont trempés constamment dans le sang
Un président de la République, malgré l'attrait que sa fonction provoque chez les autres citoyens et malgré les paillettes qui entourent cette fonction, n'est finalement qu'un vulgaire "tueur en série". Les chefs d'état "tuent" sciemment pour certains et malgré eux pour les autres. Et c'est seulement à ce niveau que se situe la différence entre un démocrate et un dictateur. Bien sûr, il faut faire la différence entre la mort politique et la mort clinique.
Pour ce qui est de Jacques Chirac qui vient d'être mis en examen, le lieu du crime aura été l'hôtel de ville de Paris. Là bas, l'ancien Maire de Paris et éternel candidat à l'Elysée a "tué" ses cinq directeurs de cabinet : Robert Pandraud, Daniel Naftalski, Michel Roussin, Rémy Chardon, Bernard Bled. Plus tard, sur son chemin, il a "abattu" Alain Juppé, Jean Tibéri, Charles Pasqua qui a entraîné avec lui son fils. Dominique de Villepin, empêtré dans l'affaire Clairstream est aujourd'hui la dernière perdrix "abattue" par le chasseur Chirac. Tous les autres membres de la chiraquie à commencer par Nicolas Sarkozy, François Fillon, Philippe Séguin, l'ont échappé belle. Ils ont eu juste le temps de s'autonomiser et même de se placer en rival pour les deux premiers ou encore de se mettre à l'abri pour le dernier. Michèle Alliot Marie qui peut être considéré comme le dernier des mohicans de la chiraquie, se débat encore dans le gouvernement Fillon et d'aucuns pensent qu'ils finiront par avoir sa peau. Simple hasard de calendrier ou fait prémédité, toujours est-il que MAM a été convoquée le même jour que Chirac était mis en examen pour répondre comme simple témoin dans l'affaire Clearstream.
Il faut relever le fait que Jacques Chirac prend sa mis en examen avec une certaine élégance. Et on peut même dire qu'il y a de sa part et de la part de ses proches une sorte de mis en scène. Sa ligne de défense tient en deux chose : tout le monde faisait la même chose à cette époque et en faisant cela, je ne me suis pas enrichi personnellement. Cette posture, à la limite masochiste, a eu pour avantage de diviser l'opinion jusque dans les rangs de l'UMP où certains n'ont pas hésité à se prendre de compassion pour l'ancien chef de l'Etat. Même à gauche où on aurait pu s'attendre à l'enfoncement du clou ou du moins à l'indifférence, certains leaders comme Arnaud Montebourg écrasent une larme pour le vieil homme.
Cette volonté d'affronter la justice ressemble à s'y méprendre à celle affiché par Dominique de Villepin dans l'affaire Clearstream. Chez l'un et chez l'autre et d'ailleurs, chez les deux ensemble il y a une volonté de jouer l'opinion publique et de contre attaquer sur le terrain politique. Ceci tient au fait que chez certains membres de la chiraquie – aussi bien ceux qui sont déclaré ou ceux qui se sont camouflés - réside encore la croyance selon laquelle, le sarkozysme ne serait qu'une bulle qui finira par exploser. Alors, à ce moment là l'opinion publique pensera à ses victimes et surtout aux grosses pointures de ses victimes.
Dans l'affaire Clearstream, Dominique De villepin avait la possibilité d'échapper à la justice classique au vu de son statut d'ancien chef de gouvernement. Mais il a voulu affronter la justice et ouvrir parallèlement un front politique - et même un front de la provocation politique comme le pensent certains - question de jouer la victime et attendre son heure lorsque la bulle Sarkozy éclatera. En prenant la même posture de conquérant face à la justice comme De Villepin, Jacques Chirac qui ne peut plus prétendre revenir aux affaires, veut-il apporter son soutien à son filleul ou c'est la guerre des chefs qui continue? L'avenir nous le dira.
Etienne de Tayo
Promoteur "Afrique Intègre"
http://www.edetayo.blogspot.com/
Lire aussi : http://www.afriblog.com/blog.asp?code=tayo&no_msg=919
1 commentaire:
Bonjour, Etienne
J'ai parcouru ton blog puisque je reçois régulièrement tes mises à jour via ma messagerie :alert2neg@yahoo.fr
J'ai évoqué ton article sur Chirac sur mon blog, ça devrait t'envoyer du monde, afin de mieux faire connaître tes chroniques. J'espère que tes nouveaux visiteurs ne seront pas trop choqués en découvrant certains réalités de notre continent, les photos des guerres notamment.
A+
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